CLAIRE

 

 

CHAPITRE 3

Essuyée, les cheveux séchés, elle regarde sa montre. Il presque midi. Elle file dans sa chambre et découvre Jérôme endormi. Sans faire de bruit elle ouvre tiroir et armoire pour se vêtir. Malgré ses précautions elle ne voit pas que son gendre s'est réveillé. Mais il reste à faire semblant pour l'observer. Claire réalise qu'elle n'a plus de culotte. En s'en passera donc forcement. Cela déjà la perturbe. Elle n'a jamais vécue sans cette fine protection. Elle trouve dans ses affaires un vieux porte-jarretelles noir, et des bas chamois, vestige d'un autre temps, oublié, comme certaines photos. Pourquoi fait-elle cela ? Elle ne le sait pas. Elle est obligée. Des questions se bousculent dans sa tête. N'y trouve-t-elle pas une certaine excitation malsaine et perverse ? Non ce n'est pas possible. Elle n'a pas le choix. C'est pourtant bien scandaleux et honteux. On a toujours le choix. Après tout pourquoi craindre le qu'en dira-t-on ? Il ne faut pas céder. Elle est là dans ses réflexions à triturer son soutien-gorge. Comment faire ? Elle prend une paire de ciseau. Il veut un soutien gorge dégageant mes seins, se dit-elle. Ce n'est pas possible. Mais elle prend un joli balconnet noir et découpe une partie des bonnets. Jérôme jubile de la voir hésitante et troublée. Il la regarde les yeux mis clos enfiler son soutien gorge massacré. Elle l'agrafe dans le dos. Passe les bretelles et l'ajuste se mirant dans la glace de la porte de l'armoire. Elle se regarde en rougissant. Ses seins sont relevés par les bonnets mais ils sont offerts comme exposés nus. Elle se fait peur à se trouver vulgaire et belle à la fois. Striée de noir la poitrine à moitié nue son mont de venus au triangle grisonnant contraste avec sa blondeur artificielle. Les fesses rebondies à l'air, Claire sent monter en elle une bouffée de chaleur. Mais que fais-tu là ma pauvre Claire ? Tu perds la tête. Rhabilles-toi décemment et sort moi ce gigolo de ta chambre. Elle passe une robe de chambre. Elle vient d'avoir une idée. Temps que Jérôme dort, elle va aller dans le salon lui subtiliser les photos et les vidéos de son téléphone. Surpris son gendre la suit, nu, discrètement sans se faire voir. Elle trouve rapidement les photos qu'elle cache dans le buffet. Elle prend le téléphone que Jérôme avait négligemment abandonné sur la table basse. N'étant pas une grande experte elle tâtonne pour entrer dans le menu. Jérôme observe, fâché, sans intervenir. Claire trouve le dossier photos. Voulez-vous détruire tous ces fichiers ? Mais bien sur qu'elle le veut. A tel point qu'elle dit elle-même oui à haute voix. Affolée de cette réaction, craignant le retour de son gendre en tremblant elle atteint les vidéos et les efface. Enfin elle est sauvée. Elle va pouvoir reprendre le cours de sa vie tranquille. La question de Jérôme la surprend. Le voyant face à elle nu comme un ver elle lâche le téléphone. - Ah non Claire, mon téléphone….. Qu'as-tu fait avec ? Fais voir. Mais ? Tu as effacés mes photos et mes vidéos ? Non, oh non. Dit-il avec une certaine manière à la fois ironique et théâtrale. -Mais pourquoi as-tu fait cela Claire ? N'as-tu pas aimé notre partie de jambe en l'air ? - Non, pas du tout. C'est fini Jérôme je ne serai jamais celle que tu voudrai. Tu ne peux plus me faire chanter. Ton ignoble et abject plan foireux est mort. Tu ne pourras plus abuser de moi. Cachant mal son mensonge, d'une voix faussée, elle asséna : - Comment peux-tu imaginer que j'ai eu un quelconque plaisir à me faire violer. - Tu ne veux pas devenir ma soumise ? - Non pas du tout, - Tu n'as pas aimé ce que l'on a fait ? Non pas du tout, Alors tu ne veux plus devenir mon esclave ? - Non je n'ai jamais voulu. Et puis habilles-toi et sors de chez moi sinon j'appelle la police. - Ok, ok, ne t'énerves pas mais réfléchis bien tout de même, tu n'as pas aimé un peu qu'en même ? - Non, sors, - Ok, ok tu es sure ? - Oui, sors d'ici - Une seconde…. Il compose un numéro sur son portable…. - Allo Jo ? Oui salut c'est moi - Va téléphoner ailleurs lui somme Claire intriguée - Tu as toujours ton site de cul en ligne ? Claire blêmit. Quel coup tordu pouvait-il encore manigancer ? - Tu peux immédiatement y mettre une des vidéos que je t'ai envoyées ? Elle ne savait plus quoi penser ? Bluffait-il ? - 5 mn ok merci tu ne le regretteras pas tu fais quoi à midi ? Je t'invite à manger dans ta gargote, at a lh'eure. Il raccroche. Claire allume ton ordi. La pauvre femme à nouveau en position défensive sentit ses jambes ployer sous ce coup de jarnac. Sans chercher à comprendre, elle allume son PC. Au bout de quelques minutes qui lui paraissent éternelles, angoissée à mort, internet explorer est connecté - tape www.vosfemmes.com Elle obéis complètement tétanisée le souffle coupé. Elle sent à nouveau montée en elle cette trouille qui lui contracte le ventre. Elle surfe comme lui indique Jérôme et la en deux pages elle voit se charger une vidéo où dans la cave elle suce son gendre. Elle ne réalise pas que la qualité est médiocre, sous exposée et pas nette. Mais elle, elle sait que sait elle. Elle Réalise qu'elle est visible dans le monde entier par tous les pervers de la terre et peut-être aussi son entourage. Elle tombe à terre en poussant un énorme cri de crise de nerfs. Elle entend son gendre dans un brouhaha. Les mots bourdonnent dans sa tête. Elle est semi consciente. Elle finit par comprendre. - Tu n'aurais pas du Claire. Une esclave ne fait pas ça à son Maître. Pauvre cruche, tu m'as pris pour une bille. Cela mérite forcement une punition. Tu es mon esclave, n'est-ce pas Claire ? - Oui maître dit-elle anéantie. - Bien relèves-toi, enlèves-moi ce peignoir et vas me chercher un marker. Avec ce dernier il marque sur le haut de ses seins en grosses lettres "JE SUIS UNE SALOPE" et il dessine sur ses joues de chaque coté deux bites se dirigeant vers les lèvres et sur son ventre pointant vers son sexe. Dans son dos il en dessine une énorme pointant vers ses fesses. Il lui apporte une carotte qu'il lui fourre dans le cul et un concombre dans la chatte. Claire est laminée, mais garde un peu de conscience pour réaliser que ces intromissions se sont faites sans difficulté. Il la force à aller quasiment nue sur son balcon pour la filmer de bas en haut la faisant tourner en disant : je suis une salope, je suis une sale pute. Puis à genoux les mains sur la tête elle le suce, lui prudemment à l'intérieur. Il finit par lui éjaculer sur la figure. Il étale avec son gland le sperme qui macule son visage, maltraitant son maquillage. Les olisbos sont retirés - Bon on va aller manger. Tu passes ta jupe de tennis - Mais Jérôme tu…………. Une gifle lui cloue le bec. Il lui rappelle ce qu'elle est et qu'elle mérite une grosse punition pour ses actes scandaleux. Tout le monde n'a pas la même définition du scandale. Ravalant toute fierté la pauvre Claire reprend : - Maître ne pensez-vous pas que cela est trop court on va voir mes jarretelles - J'espère bien mais une punition c'est une punition et ce n'est pas fini tu mets ton chemisier bleu ciel en soie avec cinq boutons défaits. On va rejoindre mon ami Jo qui nous attend pour manger. On prend ta voiture. Le temps qu'elle s'habille comme demandé il appelle son copain pour réserver une table. Il y a un gros quart d'heure de trajet pour rejoindre ce quartier glauque. Le temps étant clément il lui autorise juste un petit imperméable court par-dessus. Ils se garent à quelques mètres du resto, devant une animalerie. Imperméable ouvert il l'a fait entrer dans la boutique. Elle doit elle-même demander un collier de chien, rouge, pour elle avec une laisse. Le vendeur confus lui passe au cou. Elle doit montrer son inscription sur sa poitrine totalement visible au dessus du soutien gorge découpé. Elle est mortifiée mais elle s'exécute sachant qu'elle est piégée. Quand son maître propose un paiement en nature, un peu outré, le commerçant refuse mais Claire sent un flot de cyprine l'inonder. C'est avec un chèque qu'elle règle. Jérôme préfère ce moyen car son nom et son adresse figure dessus. Cela ne peut que l'humilier encore un peu plus. Ils ressortent direction le resto à une cinquantaines de mètres qu'ils parcourent elle tenue en laisse l'imperméable fermé. Ils entrent dans le restaurant. C'est un petit bouiboui avec un bar quelques tables et une petite salle séparée par un claustra en bois tressé au fond. Jérôme lui fait pendre son imperméable au perroquet à l'entrée. Derrière le bar un homme gras patibulaire le mégot aux lèvres essuie des verres. Un homme est assis sur un tabouret dégustant un pastis en lisant l'équipe. Sur une table face au bar trois clients d'un âge avancé se restaurent. Claire en une seconde a fait le tour de cet environnement qui lui paraît fortement hostile. Elle crainte commence à l'envahir. Elle a de plus en plus peur de ce qui l'attend. Son gendre fait signe à un chevelu hirsute dans l'arrière salle bien visible à travers la fausse cloison de bois qui sert plus à des potos à s'étirer en lianes verdoyantes qu'à protéger de la vue. Claire sent tous les regards converger vers elle. Elle est extrêmement gênée et fébrile aussi. Sa jupette de tennis ne cachant pas grand-chose de ses cuisses. Les horribles tags sur ses joues lui maintiennent le rouge aux joues. Ses jarretelles sont visibles sous la jupe ainsi que son soutient gorge par l'entrebâillement gigantesque de son chemisier. Il faut dire que la scène n'est pas courante même si dans cet établissement il s'en passe des vertes et des pas mûres. Une femme légèrement vêtue tenue en laisse qui traverse la pièce. Jérôme présente la chienne à son ami. Celui-ci fait d'abord avec les yeux une inspection générale. Claire doit lui dire assez fort qu'elle est l'esclave de son maître Jérôme. Puis l'inspection continue manuellement. Elle doit toujours le verbe haut déclarer qu'elle est une salope et une chienne. Dans un silence de cathédrale. Tous les présents jubilent du spectacle offert derrière la verdure. La pauvre femme avilie sent son ventre se contracter. Malgré elle ses tétons durcissent sous les attouchements pourtant peu tendres de Jo. Elle sent ses petites lèvres se remplir de sang et gonfler devenant plus sensible. Ses fesses sont palpées et son clito agacé. Elle a terriblement honte mais aussi terriblement envie d'être prise. Ses deux tourmenteurs s'assoient il n'y a que deux assiettes. Elle mangera par terre. Et bien que cela soit elle qui aller payer les deux repas, elle doit gagner sa pitance en faisant le spectacle et en rendant quelques menus services. D'abord elle doit aller à la table des vieux monter sa foufoune et ses fesses. Elle leur demande de vérifier si elle mouille bien. Elle est ainsi pelotée sans vergogne inondant le sol d'une énorme flaque issue de sa chatte avec forces exclamations des hommes. Ensuite à quatre pattes elle va derrière le bar faire une fellation au patron. Une fois ce dernier satisfait elle va demandé au client du bar de lui sortir les seins entièrement de ce qui restent des bonnets. En échange lui aussi à droit à une pipe qu'elle doit boire entièrement. Son apéritif dégusté elle est amenée par ce client jupe troussée mamelles à l'air en laisse comme une chienne à la table de son maître ou son assiette l'attend par terre. Elle ne veut pas savoir ce qu'elle mange mais c'est pas ragoûtant bien que très sucré. Son entrée terminée, tandis que les deux amis finissent un bon foi gras arrosé de sauternes elle doit aller de nouveau vers les vieux. Elle leur demande de lui enficher dans le cul et la chatte des carottes que le patron leur a donné et la branler avec. Elle sent monter un plaisir abject. Elle mouille de partout. Elle jouit sans pudeur avant de manger les carottes souillées de ses intérieurs. Elle a mal au cul à la chatte de partout ses seins ont été maltraité mais cela l'a amenée à une foudroyante jouissance. Elle est quasiment nue ramenée à son assiette pour manger des boulettes de chien. Elle à des nausées mais sous les menaces de son maître elle mange cet infamant repas. Tandis que les deux J savourent une excellente cote de bœuf du limousin arrosé d'un excellent Chateauneuf du pape. Le temps qu'elle ingurgite cet ignoble gastronomie le client du bar est autorisé à la baiser en lui pourrant la chatte. Elle a genoux la gueule dans sa gamelle à subir les assauts violents de l'athlète du bar. Elle ne pense plus à ce qu'elle mange mais ressent toutes les vibrations dans sa matrice en feu. Les vieux se sont rapprochés pour mieux voir. Le patron lui du haut de son bar a une vision dominante. L'individu s'active accélérant sont mouvement pour finir par s'épancher à grands cris dans le ventre de Claire. Cette dernière fatiguée mais pas comblée doit retirer avec sa bouche la capote et la déposer dans un bol. Puis elle va sucer les trois vieux. Une fois qu'ils ont une bonne érection elle leur enfile des préservatifs. Et mise à quatre pattes elle est prise derrière et devant par alternance. Enfin le plus souple s'allonge sur le dos pour que Claire vienne s'empaler dessus. Une fois la bite bien garée dans sa chatte, un deuxième vient l'enculer, le troisième se faisant sucer. L'enculeur et le sucé alternent et chacun de s'agiter sur et dans le corps offert de la bourgeoise avilie. Alors que Jérôme et Jo attaque un plateau de fromages arrosé d'un pommard. Claire est pourfendue par les trois trous. Transpirantes, tâché, odorante de bestialité elle se déchaîne agitant son bassin pour être plus profondément pénétrée. Enfin l'un après l'autre ils se vident les couilles faisant hurler de jouissance la malheureuse humiliée mais comblée. Les trois capotes sont réunies dans le bol avec l'autre. Les vieux sont vidés. Ils regagnent leur place. Le patron amène les desserts îles flottantes pour les deux convives et légère crème anglaise au foutre des capotes pour la chienne. Le temps qu'elle se délecte de son met délicat le patron l'encule s'en vergogne. Elle ne sait plus ce qui l'a dégoûte le plus tout ce foutre à manger ou se faire défoncer le cul par cet adipeux individu sale. Enfin il jouit assez vite versant sa capote sur la tête de l'infortunée. Elle est repue, épuisée anéantie en loque. Sa tenue n'en est plus une. Elle reste prostrée au pied de son maître. Eux se prennent un cognac pour finir leur repas et demandent l'adition. Jérôme fait remarquer à Claire qu'elle n'est vraiment pas gentille mais qu'elle est bien une vraie pute. En effet elle s'est faite baisée par tout plein d'inconnus et qu'elle n'a même pas proposer de faire plaisir à Jo. Hagarde, comprenant le but de Jérôme demande de manière servile à l'ami comment il veut jouir d'elle. Elle doit d'abord aller payer par chèque l'énorme note de leur repas. Une fois de plus humiliée de savoir que le patron la connaît adresse comprise elle retourne vers son maître. Jo à ce moment lui dit : ton cul fera l'affaire mais il faut me demander gentiment d'être enculée. Elle obtempère. D'accord mais pas ici. Tu sors à gauche tu vas jusqu'à l'impasse à gauche. Tu l'a prends. Tu vas au fond, derrière les poubelles il y a un SDF couché sur un carton. Tu lui dis que tu viens de ma part et que tu veux le sucer. J'arriverai après. Tu te trousseras en le suçant et je t'enculerai ainsi dans les poubelles parmi les déchets comme la traînée que tu es. Claire bien que dans un état comateux reçoit ces instructions comme un coup de fouet. Tétanisée, ulcérée elle va pour répondre vertement mais le regard de son maître la foudroie. Vaincue, elle sort de l'estaminet apeurée, effondrée et terrorisée et va à son abattoir. Voyant le pauvre erre elle exécute écœurée les ordres. Elle suce la bite qui se raidit très vite dans sa bouche. Elle se sent prise dans le petit trou. Jo la fourrage tandis qu'elle suce le mendiant. Très vite il lui remplit la bouche tandis que JO lui remplis les intestins n'ayant pas mise capote…… Malgré la situation effroyable elle a eu un orgasme anal et s'en veux de voir son corps aimer ces situations.

(à suivre)