CLAIRE

 

 

CHAPITRE 2

Jérôme, remonte tranquillement avec l'ascenseur, emportant avec lui les habits de sa belle-mère. Cette dernière, affolée, apeurée, angoissée, vaincue, essayant tant bien que mal de cacher sa nudité et sa honte, attend, prostrée le retour de l'ascenseur. C'est sans encombre, par bonheur, qu'elle arrive à son deuxième étage. Elle se sent rassurée. Mais devant sa porte close elle réalise qu'elle n'a pas les clés que son gendre lui a subtilisées. Tremblante à nouveau de ce contre temps, elle sonne ; rien, elle insiste, s'énervant, inquiète, priant pour qu'aucune des deux autres portes palières ne s'ouvre. A sa droite un retraité septuagénaire habite le F3. A sa gauche au fond du couloir de l'étage habite une famille de cinq personnes, les parents et trois enfants, un garçon de 18 ans et deux adolescentes de 14 et 11 ans. Enfin une voix : - Qui est-ce ? - C'est moi Jérôme, je t'en prie, ouvres-moi, - Je n'ai pas compris, pas de colporteur ici, - Mais, s'il te plait, Jérôme, c'est Claire, ta belle-mère, - Qui ?.....ah ! Claire la pute de l'immeuble……. - hoooo, oui, Jérôme, c'est moi, vite ouvres quelqu'un pourrait sortir sur le pallier, Et bien il faut le dire !. qui est-ce ? Comprenant la perversité de son gendre, la pauvre femme timidement annonce : - C'est moi, la pute de l'immeuble, - pardon, plus fort, je n'ai pas entendu, Horrifiée, mortifiée, les larmes ruisselant sur les joues, cherchant à cacher sa nudité, elle répète d'une voix chevrotante mais plus forte : - C'est moi Claire, la pute de l'immeuble… La porte, enfin s'ouvre. C'est avec un grand soulagement qu'elle se précipite chez elle. Il lui faut quelques minutes pour reprendre ses esprits. - Mais pourquoi me fais-tu cela Jérôme ? que t'ai-je fait ? que veux-tu à la fin ? que vont dire les voisins maintenant ? puis-je me rhabiller ? -NON, et on se calme. viens dans le salon. Ils se retouvent lui confortablement installé dans un fauteuil, elle à genoux face à lui les mains croisées derrière sa nuque, les bras en arrière, les cuisses écartées comme il l'a exigé. - Ecoutes-moi bien chère belle-mère. Tu es encore très baisable pour ton âge et tu n'as plus de bite à te mettre dans la moule. C'est pourquoi je vais t'aider. Tu vas devenir ma petite pute soumise. J'adore cela dominer les femmes. Malheureusement avec ta fille c'est pas trop possible j'ai besoin de son fric. Et toi tu as bêtement laissé traîner des photos compromettantes qui ne servent plus à rien d'ailleurs. Car j'ai fait de nouveaux cliché aujourd'hui ainsi que des vidéos. Ne t'inquiète pas pour tes voisins pour le moment. Tu étais tellement affolée que tu n'as pas vu que c'était de simples feuilles bristol vierge que je laissais tomber dans les boîtes. Tu vois tu es née pour te faire niquer MDR. Par contre, si tu me désobéis, ou si tu tentes quoique ce soit de malveillant contre moi, je n'hésiterai pas à tout divulguer. Mais je ne veux pas te forcer, bien sur. Tu as le choix entre devenir ma soumise ou la pute de l'immeuble. En fait tu as le choix de faire tout ce que je veux ou de m'obéir, LOL. Est-ce compris Claire ? - Oui Jérôme. - Tu m'obéiras ? - Oui, - tu feras tout ce que je veux ? - Oui, Très, je vois que tu as compris. Elle était ankylosée, anéantie, dans un état second, sans bien comprendre ce que cela pouvait entraîner. - A partir de maintenant tu reviens aux bonnes habitudes de me vouvoyer car depuis ce matin tu ne cesses de me tutoyer et cela n'est pas convenable qu'une esclave tutoie son maître. Je peux comprendre que ton excitation t'est laissée t'égarer. Mais que cela ne se reproduise plus. Le mot esclave fouette la pauvre bourgeoise, terrorisée par ce vocable abject. Cependant elle sait qu'elle n'a pas le choix pour éviter tout scandale. - Donc Claire veux-tu bien devenir mon esclave et faire tout ce que je veux ? Vaincue sachant qu'elle n'a pas d'autre choix elle accepte. Mais le pervers cherchant à l'humilier un maximum en veut plus. Il lui demande de formuler de vive, à haute et intelligible, voix sa soumission avec certains mots, sans manquer pas de filmer cette déclaration. - Oui, Maître, je VEUX devenir votre esclave, et je ferai TOUT ce que vous voulez. - Bon vient, à quatre pattes, avec moi à la cuisine, prend un sac poubelle dans ta bouche. Maintenant allons dans ta chambre. Elle, nue, le suis comme une chienne. Il prend ses culottes et ses collants qu'il bourre dans le sac. Puis il l'emmène sur le balcon d'où elle doit une par une jeter ses culottes par-dessus la balustrade. Cela prend forcement un peu de temps et l'affole complètement, craignant être vue par des voisins, nue sur son balcon, car lui est resté au bord de la porte fenêtre en retrait. L'opération achevée elle rentre avec la trouille au ventre mais aussi, à sa grande surprise, les lèvres de son sexe humides. - Dorénavant Claire tu ne mettras plus de culotte. Tu ne porteras que des jupes maxi 45 cm ou fendues si plus longues, pantalon interdit. Vu la lourdeur de tes seins tu es autoriser à porter des soutiens gorges mais ouvert laissant disponible les tétons et la moitié des mamelles. De même je veux ton pubis entièrement glabre. Je prends de suite, pour toi, un rendez-vous chez une esthéticienne que je connais qui te fera une épilation intime définitive. Pour marquer ta soumission tu vas mettre une chaînette à ta cheville. Je vais que tu ais toujours un décolleté qui attire le regard. Quand tu t'assoie tu le fais en relevant ta jupe, de façon à être toujours cul nu sur ton siège quel qu'il soit et ou que tu sois. Si je te surprends à faire autrement tu seras punie. Enfin, bien sur plus de collant, que des bas avec porte-jarretelles ou bas jarretières. Elle ne sait plus où elle est. Dans un état second, comateuse, elle a l'impression d'être dans un rêve. Elle ne se voit pas être telle que son gendre le veut, mais elle sait qu'elle obéira par peur du scandale. Elle voudrait disparaître. Mais d'un autre coté dans son ventre elle sent des contractions. Ses seins ont durcis et ses pointes sont érigées. Son clitoris est tendu. Elle voudrait être prise. Elle ne comprend pas l'appel de son corps. Son cerveau raisonnable crie au scandale alors que sa chatte miaule, implorant la saillie. Déboussolée elle s'allonge sur son lit à la demande de son maître. Elle écarte les cuisses n'osant le regarder. Elle décalotte son petit bouton. Elle écarte les lèvres luisantes pour faciliter l'intromission que s'apprête à faire son maître. Jérôme le mât dressé, toutes voiles dehors s'enfonce dans ce canyon béant. Il la ramone. Elle ronronne de félicité. Elle ne cherche pas à comprendre. Son gendre lui fait beaucoup de bien. Elle va jouir sous ses coups de butoir. Elle n'en peut plus. Il maîtrise, retardant l'échéance. C'est un véritable maître queue. Elle comprend ce que sa fille lui a trouvé. Maîtrisant son art il sait accélérer, ralentir aller plus loin ressortir. Enfin n'y tenant plus il partent ensemble dans une jouissance extrême. Claire n'en revient pas. Elle n'avait jamais eu une telle intensité dans son plaisir. La peur, la honte, l'humiliation l'ont mise en appétit, dans la cave, en exacerbant son envie inconsciemment. Cela la comble d'un coté et la terrorise d'un autre. Elle à peur de ce qu'elle découvre. Elle a peur de son gendre machiavélique et si bon amant, maintenant son maître. Avec application elle lui nettoie la verge ramollie. Et sous la douche seule elle revit ces instants ignobles et jouissifs où sa vie vient de basculer dans un enfer paradisiaque qui la laisse pleine de questions.

(à suivre)